Œuvre douloureuse s’il en est une. « Tu n’as rien vu à Sabra et Chatila ». On oublie souvent pour n’avoir plus à se souvenir, mais les images (celles de la fin surtout) demeurent gravées dans toutes les mémoires. Reste à départager la responsabilité des gestes des uns et des actes des autres, mais l’exercice se révèle difficile. Ceux qui ouvrent les chemins et éclairent les routes – autant dire qu’ils fraient la voie à d’autres pendant ce temps qui agissent dans l’ombre, le temps d’un massacre, celui d’une valse justement – celle de la guerre dans toute son horreur (son inconscience aussi) Œuvre originale au graphisme élaboré, combien révélatrice dans son cynisme même, plus subtile et complexe qu’il n’y parait au premier abord.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.