Ce film laisse une impression de déjà-vu. Nos productions québécoises comme «Derrière moi» et «Ma fille, mon ange» ont un thème semblable. Je me suis toujours demandé quel était le public cible pour de telles productions. Les règles de la censure peuvent avoir des effets négatifs sur les entrées en salle : les ados forment la majorité des spectateurs dans les cinémas et aussi la clientèle des vidéoclubs. La peur de se retrouver avec une classification (16 ans et +), ou (18 ans et +), doit faire reculer bien des réalisateurs. J'ai bien aimé le traitement psychologique de ce film. Pour une jeune fille consentante (14 ans), avoir une relation sexuelle avec un adulte (35 ans) peut être un jeu ou un premier grand amour très immature. Pour ses parents, c'est un drame qui pourrait conduire à un règlement de comptes, ce qui a comme résultat de traumatiser cette jeune fille. Le mélange entre moralité/légalité/psychologie était bien réussi, mais celui entre internet/grand méchant loup restait terriblement prévisible. Ce film manquait définitivement d'action à mes yeux.
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