Il y a ceux qui font la guerre (cela donne The Hurt Locker) Il y en a qui meurent. Il y en a d’autres qui reviennent en héros, mais le corps éclopé, l’esprit en charpie, marqués pour la vie. Il y a ceux qui restent, qui ont perdu un être aimé – et cela donne The Messenger, un film délicat et sensible qui ne prend pas le spectateur pour un imbécile. Le monde des gens ordinaires présentés avec justesse, avec leurs petitesses, mais sans apitoiement. Une histoire d’amour entre êtres déchirés en état permanent de déséquilibre, filmés à fleur de peau, avec tendresse. A noter un alliage délicat mais assez réussi entre l’humour et la gravité, le drame et la comédie.
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