Il y a de l'Antonioni et un zeste de Fellini dans ce film inscrit dans la grande tradition des films "existentiels" italiens. Un type de 65 ans a le vertige devant le vide absolu que fut sa vie. Il y a de quoi s'inquiéter! Alors le personnage s'étourdit dans des fêtes inutiles et outrancières, des conversations vaines, des déclarations d'amour à Rome que les personnages "vrais" veulent quitter pour rejoindre la campagne. Un constat déprimant qui semble calqué sur le désarroi universel actuel. Pour peu que l'on se laisse envahir par ce déluge de mots, mis en relief par des musiques fascinantes, le voyage en vaut la peine. On en sort comme si on sortait d'un rêve...
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