C’est un film bizarroïde à souhait. La distribution surprend, car des comédiens inhabituels s’y retrouvent. Un concert, des instruments de musique fabriqués à partir de modèles humains, la planète Mars : c’est très onirique. J’ai bien aimé le casque de Avril (Caroline Dhavernas) qui semblait identique à celui porté par l’équipage des tanks soviétiques. La voix écho de certains personnages laisse une impression de rêve qui cadre de bien avec cette science-fiction québécoise qui serait tirée d’un photo-roman. Les images sont belles, mais l’histoire peine à conserver l’intérêt. Le passage de la revue au grand écran semble avoir été laborieux. Le téléporteur fait penser à « Star Trek », mais comme tout est centré sur la ville de Montréal, on y retrouve des clins d’œil servants de repères. Quand C. Dhavernas est couchée à côté de J. Languirand (Jacob), je dois avouer que le contraste surprend.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.