Très bon film dans l’ensemble. La qualité de la production est nettement supérieure, bien que je trouve que l’effort n’est pas bien rendu dans les scènes de courses et d’entrainement. En effet, il y a une absence curieuse de souffle et de sueur. Le film repose sur le jeu de Laurence Leboeuf qui s’acquitte admirablement de sa tâche. Avec ses airs d’une jeune Jodie Foster, elle devrait connaître un avenir prometteur au cinéma d’ici et d’ailleurs.
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Bonjour. Les cyclistes ne transpirent pas, ils sont trop déshydratés et il y a trop de vent -Le réalisateur.
J'en doute. Et poussées à bout, ne sont-elles jamais à bout de souffle? Finalement, comment l'entraîneur, un homme d’âge mûr (40 ans) comme Patrice Robitaille, parvient-il à maintenir le même rythme que son équipe d'athlètes de pointe lors de leur entrainement à fond?
Un homme, avec sa puissance musculaire n'a aucun problème à suivre une jeune fille, surtout qu'il est en forme. L'essoufflement est présent, mais pas la sueur. Regardez le tour de France, vous verrez.
Voyons donc! Vous prétendez qu'un homme de 40 ans en forme peut accoter une athlète féminine de niveau mondial. Soyons sérieux!