C’est encore un de ces films québécois qui met l’emphase sur des losers. Tout ce petit monde orbite autour de l’automobile : courses d’autos, cours de conduite et cour de scrap. Naturellement, il ne s’agit pas d’un milieu très intellectuel. Le frère cadet semble particulièrement épais pour son âge, bien que capable de tours d’adresse. Je n’ai pas compris ce que venait faire la télékinésie dans ce film. Jo devra gagner en maturité, et en débrouillardise, avant de devenir Jonathan. Il n’y a pas de comédiens connus dans cette distribution : je crois qu’il s’agit probablement de comédiens de la relève. Le scénario, qui aurait eu besoin d’être retravaillé, est lourd du début à la fin : c’est déprimant. Plusieurs scènes sont filmées dans l’obscurité. Certaines scènes sont peu expliquées, ce qui me forçait à extrapoler pour comprendre, ce qui me laissait l’impression d’avoir manqué quelque chose : le scénario est mal écrit.
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