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Deux personnages arrivent à Arendelle, qui représentent une double critique du système libéral. Le premier est un vieillard ploutocrate, symbolisant l'économie de croissance. Le second, un jeunot, personnifie l'amour-passion, c'est-à-dire l'interconsommation érotique - ici maintenant - des individus. Contre cette libéralisation économique des sociétés et des individus le film présentent deux soeurs aristocratiques et un aventurier pauvre qui viennent coincer de part et d'autre les intérêts bourgeois, lugubres et calculateurs. L'isolement auquel est confiné l'aînée des deux princesses l'empêche, suite à un accident d'enfance, de développer son humanité. Inversement, la cadette privée de la compagnie de sa meilleure amie devient plus vulnérable et manipulable suite à ce manque lequel va entraîner chez elle une disposition à la dépendance affective. En fin de compte, c'est l'amour Christique qui prédominera sur l'amour égotique, celui qui est vanté tout azimut dans une société matérialiste ou individualiste.
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