Une histoire de "yable" avec pas beaucoup de yable. Comment rater une histoire pareille? La légende de la Chasse-Galerie est basée sur les superstitions religieuses du 19e siècle au Québec. Une époque transie de catholicisme, d'interdits et de croyances diverses. Ici le yable a un accent anglais, pourquoi? Les habitants ne semblent pas effrayés par ce personnage énigmatique qui hante leur village. Dans le camp du bûcherons, les coins noirs ne recèlent aucun danger. Pourtant, à l'époque, on construisait des granges rondes (surtout dans les Cantons de l'est) pour éviter que le yable ne se cache dans les coins. Le yable écoute le Requiem de Mozart sans penser une seconde à son délicieux enfer peuplé d'âmes damnées. Un cheval hanté, il y en a un dans le film, est présenté comme une brave bête un peu perdue dans le bois. Bref, un film qui n'ose pas aller au bout de son sujet. Une légende de yable, ça ne se raconte pas comme un téléroman.
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