C’est un film canadien dans lequel nos autochtones prennent beaucoup de place. L'histoire nous fait passer de la Nouvelle-Écosse jusqu’en Ontario : les grandes villes canadiennes sont au centre de l’action. Les bouteilles, les armes et les seringues sont vues fréquemment, la violence et les scènes de torture aussi. Une famille adoptive, une fille dans une piquerie, un boxeur faisant des combats illégaux : c’est ce que ce scénario nous offre. Cette opération de sauvetage se fera sans l’aide de la police. J’avais de la difficulté à croire que cette comédienne, aussi jolie que pétante de santé, était une junkie aux neurones brûlés. Ces motards québécois, parlant un français stéréotypé, semblaient peu crédibles. Ça faisait aussi un peu carte postale. C’est un film à écouter à la télé : il est classé 18 ans+, même si la nudité est absente.
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