ATTENTION: Cette critique est cachée car elle révèle le contenu du film.
Cliquez ici pour afficher cette critique.
On tenait un bon sujet dans l’air du temps, celui de l’enfance maltraitée. Mais faute de point de vue précis, le film s’égare dans les clichés et autres lieux communs. Ce ne sont pas les bonnes idées qui manquent pourtant, mais aucune ne parvient vraiment à s’incarner sur l’écran, de sorte qu’on assiste à un numéro d’acteurs dont pas un ne s’accorde avec l'autre, ce qui nous vaut une interprétation grinçante d’Yves Jacques, celle grotesque de la Bourgeois Leclerc, dramatique de Postigo, mélo de Stéphanie Lapointe, théâtrale de Rémy Girard. La seule note juste c’est celle de la petite Aurore, mais on l’enterre vite sous les pleurs et une tonne de maquillages, sans oublier, dans le genre cucul insurpassable, la scène de la colombe (et un peu plus on s'attendrait à voir la Vierge descendre du ciel sous les traits de Céliiine) Dieu merci, le miracle n'a pas eu lieu!
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.