Il est évident que l'empire Inca est une métaphore de l'Amérique déchue, dont les tours jumelles trouvent une correspondance dans le grand temple solaire d'où tombent les corps. Tout le film est le récit d'une poursuite en avant qui ne peut aboutir qu'à une fuite dans le passé, dont il ne reste plus pour l'envahisseur espagnol (ou arabe) qu'à en recueillir les fruits. Ceci dit, qu'on soit d'accord ou non avec l'idéologie véhiculée, reste un film d'une beauté stupéfiante aux images superbes et dont la réalisation à tout égard est remarquable. En fait, il s'agit d'une seconde 'Passion' revue et revisitée, mais en plus réussie.
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