C’est un film glauque à souhait. L’action nous transporte dans les quartiers mal famés de Vancouver. Le calage d’alcool est reconnu pour être dangereux pour la santé, pouvant même conduire à la mort. Le titre du film correspond à une inscription, sur un rapport d’autopsie, de la part d’un médecin légiste. J’ai eu le plaisir de retrouver dans cette distribution des artistes autochtones bien connus au petit écran. Un tueur en série, saoule à mort ses victimes, tout en ayant des rapports sexuels avec elles. Un peu dans un style « Jack The Ripper » ses victimes sont des femmes autochtones, plus ou moins consentantes à cause de leur état d’ivresse. Maisons de chambres, salle d’autopsie, ruelles et clubs de danseuses nues : c’est l’univers de ce film canadien, bien imbibé d’alcool.
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