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Une mère, agonise à la maison, entourée de ses enfants et de son 2e époux : c'est le thème de ce film. Cela se passe dans une famille de religion juive aux États-Unis: cette pratique est-elle fréquente? Obligée, par un cancer, de se nourrir par intraveineuse, ses douleurs sont atténuées par de la morphine, qui fait aussi un envieux. Les soins palliatifs ne se font pas à la maison habituellement: est-ce légal? Tous se sont regroupés à ses côtés pour assister à ses derniers moments qui s'allongeront sur 2 semaines. Les conflits de personnalités s'ajoutent aux souvenirs de tous pour retrouver cette mère qui semble avoir eu peu de contacts récents avec ses enfants. C'est touchant, l'atmosphère est bien moins froide que dans une chambre d'hôpital, il y a ses dernières volontés, l'héritage et la disposition des cendres. Tout cela est trop intimiste pour en faire un grand film, mais il se laisse regarder avec émotion. La bousculade au cimetière me semblait de trop.
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