Le travail d'un reporter de guerre n'est pas sans risque. Dans ce film, 2 collègues faisant ce boulot se retrouvent sur 3 continents (Amérique du Sud, Asie et Afrique) toujours à courir après des photos qui seront ensuite revendues aux grands médias. Ils me faisaient penser à des paparazzis en temps de guerre. Le syndrome post-traumatique, l'euthanasie en zone de combat et des connaissances qui meurent : c'est le travail du psychiatre ayant traité ce genre de cas dans une autre guerre, européenne celle-là. C'est un film très psychologique, le Kurdistan n'étant pas un lieu relaxant, mais on nous laisse la possibilité de juger de ce qui est bien ou mal. J'ai bien apprécié.
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