C’est un film qui a été tourné assez gauchement. À la fin, on fait l’éloge de la chute des régimes communistes en Europe de l’Est sans jamais mentionner l’effort de guerre qui avait lieu au début des années 40. Pour échapper à une mort certaine dans un goulag en Sibérie, un groupe de détenus s’enfuiront à pied en plein hiver. Passer du lac Baïkal à la Mongolie, et ensuite traverser la Chine pour rejoindre l’Inde sans rencontrer âme qui vive, semble impossible dans des pays à forte densité de population. Ce film ne nous offre aucune ville, route, ou chemin de fer : il n’y a que des déserts. Ils survivent au froid sibérien et à la fournaise du désert de Gobi en ne perdant que quelques participants. J’ai bien aimé retrouver Jim Sturgess (Across the Universe) dans le rôle principal, mais il cadrait mal avec son personnage : tout semble sonner faux dans ce film.
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