Plein de clichés : la nunuche indécise, l’amant transi, le rival au torse de métal, le père inquiet, l’amie délurée qui ‘’flaire’’ la chair fraîche : deux heures de temps et après autant de films, le cœur de la belle balance toujours. On ne s’étonnera pas de l’interprétation figée, de tant de répliques creuses (surtout de la part de l’inénarrable Jacob), de situations abracadabrantes – tout cela (au second degré évidemment) qui en fait un film somme toute assez hilarant à visionner. Et la belle Rachelle Lefevre n’a rien perdu d’avoir été chassée du studio, qui s’évite ainsi une décapitation en règle. Plus sérieusement le film est une sorte d’allégorie sur la crainte de l’engagement et la peur de l’autre. Les différences sont soulignées à gros traits, le tout dominé par d’obscures forces maléfiques dignes du monde de ‘’Narnia’’.
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