Il ne s’agit pas tant du portrait d’un individu (d’ailleurs trop fuyant et contradictoire pour qu’on s’attache à lui) que celui d’une société égoïste et refermée sur elle-même, oublieuse des règles d’équité, de loyauté ou de simple amitié, qui carbure plutôt à l’argent et la performance. Certainement le film plus le plus épuré de Fincher avec ses répliques saccadées, ses cadrages serrés, son montage effréné, le tout qui se déroule à un rythme d’enfer. Il s’agit en fait d’une œuvre réfléchie qui va droit à l’essentiel : celui d’une dénonciation en règle d’un monde où seuls règnent les salauds (surtout ceux à cravate)
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