C’est le 2e épisode de la saga de la famille Corleone. Francis Coppola donne raison à Fidel Castro qui déclarait qu’avant la révolution, Cuba était dirigé par la mafia américaine. Il y a un loup dans la bergerie et Michael Corleone devra découvrir qui est le traître dans cette famille. Sous forme de flashbacks, le père Vito Corleone (le parrain) a droit à ses jeunes années alors qu’il prenait de l’importance. C’est un peu comme 2 histoires, dans le même film, à 2 époques différentes. Une commission d’enquête sur le crime organisé aux États-Unis : nous en avons eu une équivalente ici au Québec (CECO), il y a de cela quelques années. Un bon film, mais qui me semblait trop long (3½h). Il a gagné de nombreux Oscars en 1975.
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