C’est vraiment un film psychologique. Il n’y a rien de plus éprouvant pour un couple que d’avoir à encaisser la disparition d’un enfant de 3 ans. Ce traumatisme touchera la mère tout au long de sa vie. Sigourney Weaver a l’air d’une femme ravagée par la vie et je ne pouvais m’empêcher de me rappeler son personnage dans la série « Alien ». Il y a tellement de mensonges dans ce film, et la fin semblant si ambiguë, que je ne suis pas certain d’avoir compris. C’est pénible à regarder, car la douleur semble constante chez plusieurs personnages. J’ai bien aimé y retrouver l’acteur canadien Elias Koteas. Le rythme est lent. Héberger une inconnue paumée est aussi improbable dans nos villes sujettes à la paranoïa.
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