Je donnerais un 10 pour la première partie du film, angoissante, incertaine, sociocritique, qui relève du film d'horreur parfois par la musique et par les montages, et un 1 pour la seconde partie qui présente un grossier ratage rationaliste. La même erreur esthétique que j'ai identifiée dans deux films québécois précédemment visionnés, L'Oeil du chat et La Peur de l'eau. Je suggère aux gens de quitter la salle après l'entrevue au sérum (ne regardez même pas le résultat de cette entrevue, c'est déjà l'autre versant du film, explicatif, logique et vulgaire) Dommage car, en s'informant un peu mieux sur les catégories de représentation, le réalisateur aurait pu éviter ce piège qu'est l'explication rationnelle totale, procédé typiquement américain, qui fait violence à la capacité d'interprétation du spectateur.
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Bravo, pleinement d'accord avec votre critique, bien formulée et signalant éloquemment force et faiblesse d'un bon film raté.