J'avais extrêmement d'appréhensions avant d'aller voir ce film. Parce que j'ai pris connaissance que l'intrigue était basée, attention, sur des gladiateurs... Pouah! C'est un film sur Pompéi! Sur Pompéi... la capitale de la luxure, et on nous parle... de violence. On transpose l'érotisme en bagarre. Ça c'est typiquement américain. Le concept de gladiateur, au surplus, est vendeur. C'est sensationnaliste. On joue sur le succès du film de Ridley Scott - qui en dernière instance, après quelques années de recul, n'était pas si bon que ça lui aussi. Ajoutez à cela l'ambiance catastrophiste si à la mode ces dernières années, et l'amourette à la Titanic. On a tous les ingrédients pour faire un fiasco. Mais ce que je ne peux pas pardonner du tout, c'est qu'on puisse faire un film sur Pompéi sans déborder tout azimut dans le sexe et la concupiscence : la caractéristique première de la ville. Sodome et Gomorrhe. Il aurait fallu que le réalisateur s'implique jusqu'au malaise comme dans le film très controversé Caligula pour rendre compte de la volupté ininterrompue qui animait la cité. À part de ça, les acteurs sont à peu près tous fades. Je n'ai rien ressenti d'émotionnel du début à la fin. La prévisibilité du film était inimaginable. Pratiquement chaque scène, chaque réplique pouvait être prédite d'avance.
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