Quand on pense aux films d’espionnage britanniques, on pense immédiatement à James Bond. Dans « Page 8 », c’est la vieille garde du MI5 qui est en vedette et non des agents jeunes, séduisants, et vifs comme l’éclair. Ce film surprend, car le personnage principal est sur le bord de la retraite, peu énergique, la voix éteinte et légèrement idéaliste. Les amateurs de films d’espionnage seront déçus par cette approche. La lutte contre le terrorisme international aura permis aux Américains d’enlever, interroger et torturer des suspects dans les prisons secrètes de la CIA installées aux quatre coins de la planète. Le premier ministre britannique était-il au courant de ces pratiques abusives? Aurait-il fermé les yeux sur ces activités dans son pays? Londres serait-elle au service de Washington? Tout est feutré dans ce monde où plusieurs ont beaucoup à perdre, si certains faits étaient rendus publics.
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