Le réalisateur s’est sûrement inspiré de la lutte contre l’épidémie d’Ebola en Afrique. L’armée américaine s’était impliquée dans cette lutte mondiale contre ce fléau. Naturellement, dans ce thriller, le virus est maintenant mortel à 100 % ce qui ne laisse aucune chance aux malades. Cette infection apparaît soudainement dans une petite ville américaine, au lieu de s’acharner sur l’Afrique. C’est l’occasion de passer au gore avec des figures couvertes de sang et de pustules. On nous offre des poursuites, non pas d’automobiles, mais plutôt d’hélicoptères, ce qui se transforme en une sorte de cascade aérienne. La médecine prend beaucoup de place dans ce film, mais les conflits entre hauts gradés sont désespérément ridicules surtout vers la fin. Ce réalisateur semble concerné par la guerre bactériologique.
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