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J'ai toujours aimé les histoires d'hommes forts. Celle-ci en particulier est fameuse. Antoine Bertrand avec ses cheveux longs et sa moustache a de la gueule en simonac. À quand un film sur le géant Beaupré? On retrouve dans Louis Cyr L'homme le plus fort du monde des thèmes comme la dualité entre le corps (Cyr) et l'esprit (sa femme), ou la dualité entre l'Amérique (travail et force) et l'Europe (culture et finesse) Il y a également des sujets comme l'orgueil, la conjugalité, et la parentalité qui sont abordés avec tact. Sans compter les rapports de nationalités, la force de la presse, la détermination. Pauvre Baby Michaud. Quelle rince pour la Citadelle de Québec! Je n'ai pas réussi à lire, cependant, le court message trop stylisé adressé à la fin sur papier à Little Miss Cyr. Un très bel hommage, somme toute, à la culture et à l'histoire québécoises. Le film (et Antoine à plus forte raison) est à la hauteur de Cyr. Bravo.
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