Faute d'apprécier ce dernier film de Forcier, peut-être faut-il le replacer dans la filmographie de ce réalisateur. Au début, les personnages bien ancrés dans le réel étaient habités par leurs rêves secoondés par une fantaisie qui les portait presqu'à bout de bras jusqu'au ciel. Ici (plus de 30 ans plus tard) on se retrouve avec un personnage désancré de tout réel, sauf de sa nationalité dont il joue des divers accents comme d'un gag qui lui sert de tremplin pour une sorte de fuite dans le monde du rêve qui ressemble à celui du cinéma du temps de grand-papa : ce qui nous vaut une sorte de variation des 1001 nuits québécoises. Malgré quelques bons "flash", on croirait assister à un film de Méliès mis en scène par Ferreri : ce qui donne un film tout en lourdeur qui essaie de s'échapper en hauteur par les moyens de l'asphyxie : cherchez l'erreur.
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