Le point fort de ce film québécois est la photographie des paysages ruraux, urbains, et aussi des bâtiments modernes. Son point faible consiste en la surabondance de nudité qui alourdit le film, avec cette désagréable impression d’exhibitionnisme, plutôt que de l’enjoliver. S’il y a une chose qui me déplaît dans le cinéma français, c’est bien les personnages qui discutent en anglais avec des sous-titres français dans le bas de l’écran : le cinéma québécois semble avoir pris cette mauvaise habitude. J’ai décroché au bout de 30 minutes. Heureusement que la suite du film était moins bilingue. Ai-je rêvé en croyant reconnaître Julie Snyder faire une courte apparition dans ce film? Ce scénario m’a déçu avec son histoire de triangle amoureux : ça manquait d’intensité dramatique.
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