C’est sûrement un film qui gagne à être vu sur grand écran : j’ai dû me contenter de celui de mon téléviseur. La nature sauvage du Yukon et ses paysages montagneux laissent un excellent souvenir. Ces images envoûtantes resteront dans votre mémoire. Les chiens de traîneaux (Husky) volent la vedette dans ce film. Le mode de vie de ce trappeur est définitivement folklorique, me faisant penser aux romans nordiques de Jack London (White Fang /The Call of the Wild), écrits voilà plus de 110 ans, à l’époque de cette folle ruée vers l’or du Klondike. D’ailleurs Dawson City est dans ce film, difficile à situer dans le temps, car sauf quelques rares apparitions de camions, motoneiges, avions, et walkies-talkies, le modernisme semble caché dans ce film. Ce dernier trappeur fuit la société, préférant vivre en symbiose avec la nature, souvent au risque de sa vie. C’est un film écologique à souhait, basé sur une histoire vécue, mais qui consolide le stéréotype européen au sujet de « Ma cabane au Canada » et tout ce qui lui est relié.
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