Avec un tel titre, Karl Marx doit se retourner dans sa tombe. Je ne reconnais plus Costa-Gavras dans ce film. Les révolutionnaires mal rasés ont laissé la place à des financiers en veston-cravate. Il faut admettre que la guerre froide, et les exactions de la CIA, sont maintenant remplacées par le marché global et les spéculations boursières à outrance. Sans être un mauvais film, l’atmosphère générale est glaciale dans ce milieu d’opulence. Il faut aimer le boursicotage, et les délits d’initiés, pour apprécier ce film à sa juste valeur. On parle beaucoup anglais dans ce film tourné en France : les sous-titres sont fréquents.
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