Philippe Noiret porte ce film sur ses épaules. Il porte l'uniforme et fait son travail de recherche consciencieusement, tout en faisant preuve d'empathie. Un peu moralisateur, il se désole de ce dont il a été témoin lors de la guerre. Ce film débute peu après la fin de la 1re guerre mondiale. Une veuve et une jeune femme recherchent un des 350,000 disparus de cette boucherie. Cette guerre, qui faisait usage de plusieurs millions d'obus, déchiquetait les soldats: pas surprenant qu'ils ne les retrouvent pas tous. J'ai bien aimé les uniformes bleus, les autos d'époque et les décors. J'ai moins aimé le côté franco-français de ce film à cause de sa distribution et des accents très européens: très verbeux et sans action. Bonne idée de le présenter alors que nous commémorons le 100e anniversaire du déclenchement de cette guerre. Il y a des longueurs et c'était difficile de retenir mon attention.
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