Vers 1765, il semblait normal de pousser un enfant illégitime vers le sacerdoce. Avoir la vocation était autre chose que de penser à assurer sa subsistance. C’est un film résolument religieux avec ses couvents et ses religieuses. Il y a de la discipline dans ce milieu et les peines corporelles (mortifications) sont appliquées pour chasser les mauvaises pensées. Les enfants de Duplessis nous ont fait connaître ce que la promiscuité peut faire, malgré que dans ce film c’est un milieu féminin dont il est question. Une adolescente, ayant prononcé ses vœux, peut-elle quitter la vie religieuse de son plein gré? La décision du pape est-elle nécessaire? J’ai bien aimé les éclairages à la chandelle. Les costumes étaient des uniformes religieux jolis, mais qui manquaient de variété. Disons que ça ne swigne pas fort dans ce milieu. C’est un peu lourd comme thème pour un film.
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