Élise Guilbeault ne fait qu’un passage rapide dans ce film. J’ai bien aimé y retrouver Marc Béland, que j’ai eu le plaisir de voir sur les planches récemment dans le cadre du OFFTA. C’est une histoire de famille assez décevante qu’on nous présente. Suite à la mort de sa mère, la recherche du père biologique amènera le fils, déjà adulte, dans une région rurale qui me semblait bien loin de la réalité. Charles Darwin (naturaliste 1859) doit se retourner dans sa tombe. Les gens rencontrés font dur. Je ne me souvenais pas d’avoir vu Sylvie de Morais auparavant à l’écran. C’est un film québécois qui nous a été présenté en tant que film répertoire. Il manque quelque chose dans ce film pour conserver notre attention : c’est plus un film psychologique.
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