D’amour il est peu question, mais de guerre, oui, surtout celle des corps. Œuvre en coup de poing dure à encaisser et qui nous laisse pantois. Fiction documentaire ou documentaire de fiction? Impossible de trancher, mais la réalisation par contre demeure de premier ordre. Aucune concession dans le traitement du sujet, aucun manichéisme non plus. Difficile de faire plus cru. On sort du film complètement sonné et les images nous hantent longtemps encore après la projection.
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