C’est présenté comme un documentaire sur la vie de Kurt Cobain du groupe rock Nirvana. Il y avait de nombreux sous-titres et surtitres en français sur l’écran, car tous les dialogues sont en anglais. Animations, effets spéciaux, images familiales (ciné-caméra Super 8) : c’est ce qu’on nous présente pour sa tendre enfance. De sa naissance à son suicide, on le voit dépérir peu à peu sous l’effet de la drogue. Il semble avoir une enfance heureuse, mais à l’adolescence il sera rejeté par ses compagnons de classe à l’école et finalement par sa mère récemment séparée. C’est quand il fera la rencontre de Courtney Love que sa descente aux enfers s’accentuera. Au lieu de l’aider, elle le calera. Rien ne va plus à partir de ce moment et le film devient vraiment lourd. La musique de Nirvana sert de trame sonore et les images de concerts sont nombreuses. Le son était parfois trop fort à mon goût, mais le rythme est sauvage. Un court making-of suit le générique à la fin permettant au réalisateur de nous parler du tournage de son film. Bonnes chansons, mais une loque humaine : pas un exemple à suivre.
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