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J'ai aimé ce genre de film surtout par sa «finale»!!! Étonnant, ce petit oiseau qui se retrouve, à« s'éteindre» sur le dos!!! Il exprime pour moi que cet homme qui s'était comme programmé à vouloir mourir... se serait donné la chance de renouer avec la famille en se permettant de les inviter chez lui malgré toutes mésententes du passé. Soit à vouloir qu'il y ait une suite... *Il a d'ailleurs déjà été dit qu'aucun oiseau ne meurt sans que DIEU le permette*... ce qui ferait que cela peut avoir ranimer la vie en le cœur de «notre vedette principale» beaucoup aimé, cet homme, par son style spécial, à mon idée. ET, qu'on le veuille ou non, la «cellule de vie» familiale est sensée être des plus importantes et vitales pour chacun (e) par le fait premier de la conception jusqu'à... la fin des temps soit ici, jusqu'à la fin du monde (à chacun-e). FÉLICITATIONS MONSIEUR DOLAN... et à tous les autres, selon leur importance!!!
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Pourquoi dans votre critique que je lisais avant d'aller voir le film vous permettez-vous de révéler de tels détails. Vous gâchez tout! Vous privez vos "lecteurs" de savourer le film et toutes ses nuances en vous lançant dans une telle "envolée" verbeuse. C'est comme raconter la fin du livre à la personne qui a l'intention de le lire. Je n'ai pas tout lu sentant des le début qu'on m'en disait trop mais malheureusement le mal est fait. Je n'irai pas voir le film en salle. Si il passe un jour à la télé, je vais redouter le moment que vous avez mentionné. Votre critique n'en est pas une, c'est le texte d'un ÉCHANGE À FAIRE AVEC DES GENS QUI ONT DÉJÀ VU LE FILM!
Intéressant l'analyse de la scène de l'oiseau! Moi je l'ai interprétée ainsi: l'oiseau se croyait libéré, a volé partout comme un fou mais est finalement resté coincé entre quatre mur, sur lesquels il s'est cogné pour finir mort assommé. C'est un peu Louis, qui malgré son exil n'a pas pu sortir de sa famille.