« L’enfance est un couteau planté dans la gorge : on ne le retire pas facilement. » On pourrait parler tout aussi bien de la guerre et de ses ravages. Villeneuve s’est lancé ici dans un projet ambitieux, il s’en est donné les moyens aussi. On ne peut parler d’une réussite totale, du moins s’en sort-il avec honneur. Faute de dominer sa matière et d’en maîtriser tous les tenants et les aboutissements, on admirera cependant la précision technique, le souci du détail, le sens de l’espace et des paysages, une sensibilité frémissante aussi à fleur de peau, mais tout cela encore comme trop retenu et trop sage (alors qu'on attendrait plus de rage)
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.