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Du début jusqu’à la fin le réalisateur joue avec nos nerfs. Il réussit à nous embarquer dans son histoire et à semer de fausses pistes (que ce soit la fuite du fils ou la sortie de la mère) tout en entretenant (pensons à la scène de la télécommande) la frustration et la déception du spectateur, de sorte qu’il force ce dernier à ce questionner sur ses réactions et ce qu’il attend au fond d’un film. Alors s’aperçoit-on qu’on s’est laissé prendre au jeu des apparences où se mêlent la violence et le voyeurisme, où se confondent la réalité et la fiction, comme si la souffrance et la douleur n’existaient pas, ce que le film par de longs plans interminables se charge justement de nous rappeller, d’où le malaise et l’espèce d’inconfort qui s’installent et ne nous quittent plus durant tout le temps de la projection.
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