Un film raté que l'on regarde tout de même avec un certain intérêt, joli paradoxe... Ici, le réalisateur signe un film "songé" sur le sort des oeuvres d'art pendant les guerres. Mi-documentaire, mi-rêverie poétique, FRANCOFONIA tombe à plat à cause de sa prétention et l'obsession du cinéaste à se mettre en scène à la place de son sujet. Résultat verbeux, pompeux et légèrement soporifique.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.