Un film qui dresse un parallèle intéressant entre le colonialisme du 16è siècle et celui, néo-colonialisme du 21è. À l'époque c'était le continent européen, et aujourd'hui, c'est les multinationales, le privé et etc. Sauf, tant qu'à traiter d'un sujet crucial, tel que la privatisation de l'eau, on aurait eu avantage à approfondir le sujet. Dans le film, on comprend que le seul responsable est la mairie et, dans une beaucoup moindre mesure, le FMI auquel on fait une blague de 2 secondes... Dommage, l'entrée en matière était fort prometteuse.
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