Sur le même sujet, la même année, Jim Jarmusch avec « Broken Flowers » a réalisé un film à la fois grave et tendre soulevé par une douce euphorie."Don’t come knocking" de Wim Wenders souffre d’abord d’être un calque de "Paris, Texas" mais sans l’état de grâce de ce dernier. Au contraire, ici tout est lourd, appuyé, répétitif, redondant, certaines scènes même (surtout avec le fils) frisent le ridicule. Des images superbes, de beaux cadrages, des mouvements de caméra "songés", une musique hélas trop omniprésente ne suffisent pas à masquer l’insuffisance, sinon le caractère quelque peu forcé de l’ensemble.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.