Film sans surprise dédié à la gloire unique et exclusive de sa vedette locale à l’égo aussi démesuré que ses personnages, et comme eux répétitif et redondant, pour ne pas dire compulsif. Les années ont passé, on a vieilli physiquement, mais on n’a toujours pas évolué mentalement. Que ce soit sur le plancher de danse ou dans le lit on a beau se démener comme un diable on en reste toujours au niveau des grimaces et réduit à faire du surplace. On se prend déjà à rêver à une suite où tous les personnages seraient atteints de la maladie d’Alzheimer, même Michel Côté s’y perdrait qui les confondrait, jusqu’à n’en plus former qu’un à son image. Il se tromperait de trou aussi, ce serait une belle mort assurée.
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Quel commentaire pitoyable. On peut dénigrer une oeuvre autant qu'on le veut, mais s'attaquer personnellement à ses artisans est, à mes yeux, d'une rare bêtise et d'une triste méchanceté. Méprisable.
Désolé « fanatique », je ne m’attaque pas du tout aux "artisans" : non seulement je ris avec eux, mais en plus je leur propose même l’idée d’un scénario pour une suite de Cruising : vous voyez, j’assure la continuité de l’œuvre! Pour le reste, sachez que Cruising 2 a fait les meilleures recettes de l’année 2008 pour un film québécois. Le plus "méprisable" n’est pas celui qu’on pense.
Qu'est-ce qui est encore plus méprisable que de dénigrer bêtement les artisans d’un film? C’est de dénigrer le grand public qui a apprécié ce film. De plus en plus édifiant.
Qu'est-ce qui est encore plus méprisable que de dénigrer bêtement les artisans d’un film? C’est de dénigrer le grand public qui a apprécié ce film. De plus en plus édifiant.