Quel ratage! Bien sûr, il y a la qualité de jeu de Michel Côté, indéniable, mais ce talent ne justifie pas le prix d'entrée de ce film aussi mal foutu que pathétique. Mal foutu, car si on coupait toutes les longueurs (dont la scène de la disco), le film ne ferait plus que 8 minutes. Pathétique aussi, car les personnages n'ont pas évolué, ni la société qui les entoure. Existe-t-il encore en banlieue de Montréal des endroits où l'on danse le Bunny Up? Les auteurs ont raté l'occasion de rafraîchir leurs gags et leurs idées. Cruising Bar 2 sent la piastre facile. On se désole que Téléfilm et la Sodec, qui refusent parfois les scénarios de Denys Arcand, aient pu donner leur bénédiction et leur argent à ce fiasco.
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