C’est un film dans le genre psychologique, car il est peu dramatique. C’est une histoire de junkies reliés au domaine de la chanson et d’un enfant sous la garde d’un beau-parent (Nick Nolte). Le réalisateur nous fait passer du Canada, à la France et à l’Angleterre. Cela donne l’occasion au personnage principal (Maggie Cheung) de passer du français à l’anglais et brièvement au chinois : c’est un rôle fait sur mesure pour ses capacités. Je ne connaissais pas cette artiste qui aurait mis fin à sa carrière artistique. Malheureusement, cela impose aussi la présence de sous-titres lorsque nécessaire : c’est surtout le cas des 30 premières minutes du film. J’ai bien aimé y retrouver Béatrice Dalle mais son rôle effacé ne permettait pas l’intensité que l’on retrouvait dans le film de Jean-Jacques Bénix « 37° 2, le matin ». Cette coproduction France-Canada-Angleterre m’aura laissé la désagréable impression d’être constamment assis entre 2 chaises.
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