Il faut apprécier le style de Bernard Émond pour apprécier son film à sa juste valeur. Le Grand Nord, les Inuits, l’implication des communautés religieuses dans les hôpitaux : ce scénario nous ramène dans les années 50. Bien avant la Révolution tranquille, l’aide humanitaire prend la forme d’une hospitalisation forcée. J’ai bien aimé qu’elle ne soit pas représentée comme l’histoire d’horreur vécue dans les pensionnats indiens à la même époque. Le personnage principal est un Inuit (Tivii) qui a un choc culturel en voyant un arbre, un téléphone, une salle de toilette ou en mangeant du spaghetti. Belles images du Grand Nord, mais elles n’occupent pas beaucoup de place dans ce film qui se situe à Québec principalement. La tuberculose aura fait bien des ravages.
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