Au début on congédie un personnage, à la fin c’est le spectateur qu'on expédie, entre les deux tout le monde s’envoie promener qui s’assassine allègrement. Arrêtez-vous un instant à la machine dans la cave : elle est la vraie métaphore du film qui le désigne clairement. Pensez aussi au titre "Burn after reading". Bref on aura compris que l’œuvre, véritable petite machine de guerre, se révèle à l'usage aussi irritante que perfide à souhait, que les acteurs cabotinent à qui mieux mieux et que personne ne se prend vraiment au sérieux. Pas de demi-mesure ici, selon le degré de lecture, on aime et on apprécie ou on déteste. Bref, décapant et décoiffant.
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