C’est surtout un film sur la bisexualité. Ce film est dans l’air du temps, le mouvement gai ayant le vent dans les voiles, depuis quelque temps. Les images de la nature sont dignes d’une carte postale. Les troupeaux, les randonnées à dos de cheval, les rodéos : j’ai bien aimé tout cela, même si ça suintait la testostérone. Ang Lee aurait pu utiliser des travailleurs d’usine ou de bureau, mais il a préféré le cowboy qui correspond plus à un fantasme sexuel. Les scènes d’amour me déplaisaient et je préférais regarder au plafond à ces occasions. Pauvres épouses : elles sont abandonnées, avec les enfants, pour une affaire qui se résume à des pulsions sexuelles qu’ils disent incontrôlables. D’ailleurs, ces comédiennes apparaissent assez tardivement. Le mensonge est partout dans ce scénario : on touche à un tabou d’une autre époque. J’ai apprécié les images géographiques, mais cette histoire d’amour sonnait faux à mes yeux. Ce film permet de prendre position face à l'homosexualité.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.