Vu presque un demi-siècle plus tard, on reste pantois devant la modernité absolue de ce film, autant dans son sujet que dans celui de son traitement, sorte de réflexion sur le visible et le rien de l’image réduite aux seules apparences, sur l’art en général, qu’on en oublie ce pour quoi d'abord il existait, qui devait nous élever à autre chose et qui s’est perdu en chemin comme la foi, condamné désormais à se singer lui-même.
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