J’ai été agréablement surpris par la réalisation du film. N’empêche, je comprends l’exaspération de certains intervenants devant cette représentation d’un Québec mythique et rural, et l’idéologie sous-jacente véhiculée, que symbolise bien la montre du vieux curé : le temps qui s’est arrêté. Il y a aussi l’église brûlée, sans oublier le héros en la personne du fou du village essentiellement bon et "ouvert", et qui se fait manipuler par tout le monde - et plein de clichés et d’autres poncifs de même genre. Il est vrai qu’il s’agit d’un conte, il y a aussi beaucoup de clins d’œil et de pointes d’humour qui viennent alléger l’ensemble. Malgré tout, on demeure perplexe. Je ne mets pas en doute les intentions des artisans du film qui ont fait du bon travail avec deux fois rien, mais je me questionne sur la pertinence d’un tel projet qui aurait peut-être mieux trouvé sa place il y a une trentaine d’années (mais je peux me tromper)
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