Je ne connaissais Anton Tchekhov que par son nom. Cette présentation à notre ciné-club local m’aura permis de connaître ce médecin-artiste un peu plus. L’action se passe vers 1890, donc dans une Russie qui n’a pas encore connu la révolution communiste de Lénine. J’ai bien aimé les éclairages à la chandelle. Les chevaux et ces plumes avec encriers qui semblaient très salissantes à l’usage. Beaucoup d’artistes (peintres, écrivains, acteurs) entourent ce personnage principal. La tuberculose fait des ravages. Son voyage documentaire à l’île Sahkaline (9000 km de Moscou) donne une idée de l’immensité de ce pays. Ces prisonniers du tsar russe laissaient présager les goulags à venir. Je me demandais jusqu’à quel point tous ces comédiens français personnifiaient l’âme russe fidèlement. Certains passages semblaient escamotés rapidement comme si des coupures avaient été faites au montage. C’est intéressant, mais on est habitué à des films plus dramatiques.
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