Ce film québécois carbure à la nostalgie. J’ai bien aimé les épisodes avec les nazis, surtout celui se passant sur la planète du Petit Prince. La 1re heure de ce film a retenu mon attention, mais la 2e heure m’a ennuyé, car elle me semblait trop répétitive. La vie de ce jeune garçon (Ricardo) rappelle bien des souvenirs, surtout ceux de la psychologie de l’époque, vue au travers des yeux d’un jeune de 11 ans. L’année 1981 en était une de difficultés économiques : le taux de chômage était élevé. La cellule familiale et le gang d’amis occupent beaucoup de place. La narration par Ricardo Trogi étonne un peu, mais ce film est autobiographique : un travail n’est jamais mieux fait que par soi-même. C’est le genre de film qui rejoint un large public. J’ai eu le plaisir d’y retrouver un de mes anciens voisins : monsieur Dagenais, le directeur d’école. C’est sympathique comme impression générale, sans être un film d’action.
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